Vous entrez dans un établissement des plus pauvres, vous êtes vraiment dans un bidon-ville. Des planches de bois font office de bar et des tabourets font le tour de celles-ci. En entrant dans le "bâtiment", les yeux se tournent tous vers la porte et les conversations se taisent immédiatement. Puis les chaussures des tous les individus, pas plus de huit semblent devenir magiques car les habitants se mettent tous à fixer ses chaussures pour éviter vos regards.
Krystel ne parvient pas à identifier la divinité que les paysans vénèrent. Aucun symboles, aucun objet ne permettant d'identifier la place, mais une aura très légère si fit sentir par Krystel par l'entremise de sa déesse. Un pressentiment de frustration, de révolte mais rien de mauvais...